DAWN (New Album Out)

Les Modules Etranges

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Les Modules Étranges est un groupe Cold wave / Post-Punk formé à Nantes en 2007 par Azia (chant) et Jenn (instruments), accompagnés en live par divers musiciens.

Après quelques démos parues gratuitement sur divers sites internet de musique libre, le groupe apparaît sur la première compilation du label "La Forme Lente" sous forme d'un 33tours, leur titre "End" figure aux côtés de titres de Press Gang Metropol (ex Corpus Delicti), ADN' CKRYSTALL et des Garçons Coiffeurs.

Le groupe fait ensuite quelques premières parties : Gitane Demone au Klub à Paris, les Legendary Pink Dots ainsi que Cindytalk au cours de l'année 2009 à Nantes.

Les musiciens des Modules Étranges sont membres de l'association M.i.r.e.n.a dont la mission est de promouvoir la diffusion de la musique dark et expérimentale sur la région nantaise.

Leur premier album autoproduit "Dawn" est disponible par le biais de leur blog http://lesmodulesetranges.blogspot.com en vente par correspondance.



« L'ombre de la scène gothique anglaise des 80's plane sur la musique des Modules Etranges. Guitares lancinantes, voix aérienne, et une section rythmique down-tempo composent des sonorités froides et prenantes que ne renieraient pas Joy Division ou encore The Cure. Les Modules Etranges sont un groupe nantais issu de la mouvance cold wave et formé en octobre 2007. Depuis, ce duo (qui se fait trio en concert) s'est construit un univers à l'esthétique purement gothique. [...] »
Olivia Ragaud, Wik Nantes

« Beautiful female vocals, pounding, tribal percussion, chaotic and jagged guitars, thumping bass grooves, ominous synth textures and a very healthy amount of reverb and chorus! »
Royce Icon, Chain DLK

"Pour les habitués des forums dark, les Modules Etranges ne sont plus des inconnus. Voilà pas mal de temps en effet que ces musiciens originaires de Nantes se servent de internet pour présenter l'évolution de leur travail, lequel trouve ici sa consécration avec la sortie d'un premier album. A l'écoute, on les sent passionnés par une certaine philosophie musicale qui puise ses racines au coeur des années 80, les Cocteau twins, Cranes ou même The Cure ('Ballard's song') sont les noms qui viennent immanquablement à l'esprit si l'on évoque les influences. Grands noms et musique qui tient la comparaison. Il est simple en effet de se référer aux Jumeaux Cocteau mais combien sont les formations à avoir repris le flambeau quand ces derniers ont laissé ..é l'aspect vénéneux de leur musique pour s'orienter vers des sons toujours plus heavenly et planant ? A part les Américains de Trance to the Sun, elles ne sont pas légions...Programmation soignée, basse de plomb et guitares torturées qui couinent, voix féminine oscillant entre timbre adolescent et maturité trop vite acquise, troublante, parfaitement à l'aise au milieu de ces lambeaux de son qui se tordent comme des vagues ralenties. Pas de réelle faiblesse, les morceaux sont solides, le mixage et la production tiennent la route, les Modules parviennent à dégager une vraie atmosphère, quelque chose de moite, un trouble fascinant, un brin dangereux, lascif, sans vulgarité aucune. 'Dawn' propose de petites perles telles que 'Cindy (I won't wait any longer)', le mélancolique 'Momentary bliss', 'Sad partying people' ou 'Ballard's song' et ravira tous les nostalgiques...Quels nostalgiques ?!? Comme si une telle musique ne reflétait les émotions et les préoccupations de notre époque ! Ce disque réussi ravira les amateurs de musique profonde et sincère, c'est tout."


Twilight, Guts of Darkness
http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=12384





De ces Modules Étranges, duo nantais devenu trio,s'échappe de doux effluves cold-wave, des volutes batcave et des vapeurs post-punk enchanteresses du plus bel effet. Un parfum noir et enivrant habille en effetce "Dawn", véritable ode aux sons froids et désenchantés du début des années 80. Le chant d'Azia aux arômes glacés, fantomatiques et sensuels apporte aux compositions des senteurs riches et variées. L'exhalaison cold n'est pas en reste avec la basse ronronnante, presque rampante, d'Evran, et les guitares stridentes et lancinantes de Jenn. Ce premier opus d'une maturité étonnante distille donc son lot de hits avec le blafard et tenace Cindy (I Won't Wait Any Longer) , le mélancolique et entêtant Sad Partying People aux textures synthétiques sépulcrales ou bien encore Momentary Bliss à la tragique beauté. Les fans de groupes tels que Siouxsie, Skeletal Family, Cranes ou Cocteau Twins se damneront sans concession à l'écoute de ce "Dawn". Alors éveillez vos sens et laissez-vous séduire par les méandres crépusculaires aux atmosphères gothiques troubles et fascinantes de ces étranges modules...



Jean-Marc Chabrerie, Premonition
http://www.premonition.fr/chro/chro277004.php3





En fermant les yeux, "Dawn" inséré dans la platine, on pourrait légitimement se demander si l'on est toujours dans la glorieuse période du post-punk anglo-saxon de 1982-84. Basse ultra cold bien en avant, guitares noyées et abrasives, circulaires et ondoyantes, rythmiques (boîte à rythmes typée early 80's) minimales et froides, chant mouvant et fantomatique. Neuf titres qui sont hantés par un amour invétéré de la morsure froide, la lancinante pulsation qui circule dans les veines des corbeaux originels. Pour les amateurs du genre le plaisir est sans entraves, pour d'autres la recette peut paraître un peu ternie par le voile des années, mais cette première production sur support physique de Les Modules Etranges ravira amateurs de Judith, Trance To The Sun, Autumn's Grey Solace, Luna In Caelo ou encore des premiers Cranes (la voix sur "Down The River Of Insanity"). Les Nantais viennent en tout cas combler le vide laissé dans l'hexagone par Dead Souls Rising, Lacrima Necromanzia, Avoid Catoblépone, October 27th et bien d'autres disparus au tournant du XXIème siècle.



Silver Edward, Trinity
http://www.asso-trinity.org/Trinity-Chroniques.php?page=affiche&chronique=391






Duo devenu trio, les Nantais des Modules Étranges développent depuis 2007, non sans nostalgie mais avec un savoir‑faire certain, une musique acide et évocatrice, proche en esprit des fondamentaux cold wave (le travail de la rythmique, sa dure basse en boucle). Si les voix d'Azia ne nous paraissent pas toujours sûres d'elles‑mêmes, leur timbre pleureur s'intègre toutefois bien à un ensemble instrumental typé et qui en appellera forcément aux souvenirs des années 80 (The Cure, comme sur "Ballard's Song", par exemple; Cocteau Twins sur "Momentary Bliss", aussi) voire de ces années 90 où une nouvelle génération de musiciens tendit à prolonger les froideurs éthérées de la décennie précédente (Love Spirals Downwards, Trance To The Sun). Les écheveaux de guitares des Modules Étranges, plus ou moins complexes et chargés, créent en tout cas cette couche acidulée et mystérieuse dont les pointes épicent la froideur de la rythmique et renouvellent son attractivité. Dawn, c'est finalement l'exposé d'une conviction esthétique datée, mais portée avec honnêteté et goût.


Emmanuel Hennequin
http://www.myspace.com/dsidemagazine






Duo nantais avouant un goût prononcé pour la cold-wave des 80's, Les Modules Étranges matérialise, avec ce Dawn abouti, ses efforts d'écriture et de composition. Bénéficiant pour ma part d'un promo offrant Cindy, Sad partying people et cinq teasers, j'avoue me retrouver sous l'emprise, sur l'intro de Cindy, de ces climats obscurs, grinçants, intenses et planants, aux guitares massives, qui m'évoquent un courant qui aura marqué une époque au fer rouge et dont certains "ressortissants", c'est le cas des Modules Étranges, reprennent le flambeau avec panache.

Une voix féminine profonde accentue cette atmosphère prenante, qui porte les traces de Cocteau Twins, Cranes voire Killing Joke -je pense à celui de Fire Dances- pour les six-cordes acides et perverses. Le rythme percutant, précis, assuré par une boite à rythmes et une basse délicieusement cold, complète le tableau de ce groupe aux compositions plus que crédibles, personnelles, qui assimile ses influences et les "recrache" en les mettant au service d'un univers qui au final lui appartient, et ce premier morceau assure une entrée en matière consistante que Sad partying people, fait d'une new-cold/wave, si l'on peut dire, apaisée, portée par cette basse remarquable et ce chant à la fois chaleureux et éprouvé, confirme brillamment.

Azia (chant, synthé), Jenn (guitare, basse, synthé, MAO), Evran (basse) affichent une cohésion affirmée et quelles que soient les atmosphères retranscrites, entre Cindy Talk, assez plombé, et ce Sad partying people plus éthéré, se montrent performants. Cette qualité leur a d'ailleurs d'assurer les premières parties de formations telles que Gitane Demone , les Legendary Pink Dots ou encore Cindytalk.

Les ébauches qui suivent ces deux titres probants nous montrent que les Modules Étranges n'ont nullement usurpé cet honneur et allient remarquablement une froide distinction dans l'expression de leur ressentis et un certain désabus dans le ton, dans la mise en son de ceux-ci. Le côté lancinant, céleste, prédomine et exhale quelque chose d'intense, de captivant, qui suscite l'envie d'en entendre plus. Et sur le dernier essai de Dawn, les guitares torturées associées à une trame lourde et oppressante ferment la marche de fort belle manière.

Les Modules Étranges s'inscrit donc dans la catégorie de ces groupes encore (malheureusement) méconnus, appartenant à un créneau porteur d'une nostalgie compréhensible, qu'ils exploitent de façon singulière et pour un résultat ici irréprochable, en attendant une suite que je pressens excellente.


A good day for a trip,
http://www.muzzart.fr/lezine/chronik/les-modules-etranges-dawn.html





Résolument ancré dans la
vague cold-wave, LES
MODULES ÉTRANGES, trio nantais de fondus
du genre pousse encore un peu plus les murs de
l'antre de cette musique. Les rythmiques des
boîtes à rythme sont inventives, elles lorgnent
parfois même plus du côté de l'emocore que de
la cold, le son de basse est bluffant, les guitares
bruitistes et parfois noise. Les machines et les
claviers viennent étoffer un univers déjà fourni, et
la voix lancinante prononcer encore davantage
l'obscur des compositions. De “Dawn” transpirent
des ambiances dark, mais des titres comme
“Poison” parviennent à colorer le propos. Avec
une parfaite alchimie des sons, une maturité et
une maîtrise musicale, ce disque devrait conquérir
les adeptes du genre et fait renaître ou perdurer
un genre qui a marqué bien des esprits dans
l'histoire de la musique.


Cécile Arnoux, Tohu Bohu
http://www.trempo.com/Tohu-Bohu



Il est rare que j’aborde ici des autoproductons, souvent difficile à trouver et d’une qualité sonore moyenne, mais je dérogerai à la règle pour le premier album d’un jeune groupe de Nantes évoluant dans le rock gothique à l’américaine, dans un esprit assez voisin de MEPHISTO WALZ, FAITH & THE MUSE (le côté médiéval en moins) ou plus lointainement CHRISTIAN DEATH.
Malgré leur nom français, LES MODULES ETRANGES chantent uniquement en anglais sur une musique caverneuse authentiquement gothique. Bien qu’encore un peu vacillante, la voix d’Azia, la chanteuse se joue subtilement des échos et de la réverbération pour s’incarner de manière assez fantomatique.
Certes, la production et surtout le mixage sont quelque peu à revoir. La basse est trop à gauche, la guitare est trop en retrait, certains effets percussifs sonnent étonnamment sourds… Mais cet amateurisme de finition, s’il choque un peu l’oreille au début, replonge le (presque) vieux briscard que je suis à cette époque glorieuse de la fin des années 80 où je posais sur ma platine des galettes underground tirées à 500 exemplaires et qui ne sonnaient pas forcément mieux que cela. Privilégier l’émotion, la sincérité, la dépression même, à la finalisation technique, au peaufinage artistique, n’est-ce pas finalement la véritable raison d’être de cette musique gothique parfois appelée « batcave », et finalement aussi facile à distinguer qu’une chauve-souris dans une cave à peine éclairée ?
On pourra débattre ou non de la chose, mais toujours est-il qu’en dépit de cette production un peu limite, LES MODULES ETRANGES a tout ce qu’il faut pour se faire un nom bien plus conséquent sur la scène gothique, pour peu qu’ils tombent entre les mains d’un label motivé et d’un producteur talentueux. Les mélodies sont là, puissantes, retorses, envolées. La basse ronronne, la guitare hurle à la lune, la voix s’éparpille en volutes évanescentes. Rien de novateur, certes, mais un excellent rock gothique à l’ancienne, joué avec une maîtrise et une assurance surprenante. « Dawn » aurait pu être enregistré dans les années 80, et il n’y a guère que la boîte à rythmes un peu sophistiquée qui sonne plus moderne, car sur le plan instrumental, l’illusion est saisissante.
On retiendra de cet album quelques morceaux très forts, comme "Nightmare", "Cindy (I Won’t Whit Any Longer)", le déchirant "Changing" ou l’excellent "Sad Partying People" aux réminiscences très JOY DIVISION, période « Closer ».
Bref, en dépit de ses limites techniques, « Dawn » est assurément l’un des meilleurs albums gothiques français de ces vingt dernières années, et même si la renommée du groupe reste encore confidentielle, espérons que les choses vont évoluer et nous gratifient encore longtemps d’aussi bons disques. Il y a déjà quelques années que je n’écoute plus de rock gothique, lassé des clichés que cette musique véhicule, et LES MODULES ETRANGES m’y ont ramené avec bonheur, et même un brin de nostalgie. Souhaitons donc que cette « aube » ne soit pas l’ultime crépuscule d’un genre musical singulièrement en fin de parcours.  


Dorian Wybot
http://dorianwybot.typepad.com/


Tegenwoordig waait er een heuse retro new wave wind doorheen Frankrijk. Iets wat u misschien al ten persoonlijke titel heeft opgemerkt. Nieuw in het rijtje voor Dark Entries is deze Les Modules Étranges die met “Dawn” hun ‘fysieke’ debuut in eigen beheer afleveren. Wool -E Shop maakte ons met een promo exemplaartje attent op dit Franse trio die gitaar wave in oudere 4 AD stijl koppelen aan het breekbare, het mysterieuze en ondefinieerbaar bombastische van The Cranes. De jaren ‘80 zijn weer helemaal terug, met donkere gitaarlagen, wispelturige bassen en holle drums. De Cocteau Twins in een minder eloquente bui. Kenmerkend is hier ook de vrouwelijke zang, minder feeëriek als bij The Cranes maar op z’n minst matuur en volwassen. Eigenzinnige zang die muzikaal gevangen zit in een gitzwart gat van claustrofobisch kwetterende vleermuizen die in formatie de mooiste gotische hersenspinsels gestalte geven. Dromerig, melancholisch. Vreedzaam en soms liefdevol maar ook gewelddadig. Wispelturig en evenzeer consequent doorgedacht. Want zo mag je het totaal geluid van Les Modules Étranges wel noemen, hoewel niet typerend gotick rock of death rock, toch is gotisch alom tegenwoordig. Fans van (de oudere) Cranes zullen hier een vette kluif aan hebben, maar dit vooral ook weten te waarderen anders zijn het geen Cranes fans. Bombast in een razernij van emotie en devotie. Geslaagd debuut. Te koop via de Wool - E Shop trouwens.

Kurt Ingels
http://www.darkentries.be/nl/cds/?cdid=1286


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Azia (Justine A.) : Voix, textes, composition
Jenn (Stéphane G.) : Tous instruments, composition
Jrm (Jérémy C,) : Basse.


Site internet : http://birkenow.jenn.online.fr/lesmodulesetranges/
http://www.myspace.com/lesmodulesetranges

E-Mail : lesmodulesetranges@live.fr

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