ANOTHER VISION, second album sorti le 13 mars 2010

Notre second album ANOTHER VISION est maintenant disponible




















ANOTHER VISION


1. Liberate Tute Me Ex Inferis
2. In Silence
3. Trust
4. Disease
5. Breakdown
6. The Runaway
7. No Mercy
8. Loner
9. Bent
10. Clear


!!FASTER AND LOUDER!!




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Preview sur LAST FM
http://www.lastfm.fr/music/Les Modules Etranges/Another Vision


Quelques titres en écoute sur myspace : http://www.myspace.com/lesmodulesetranges


L'album est également disponible via notre site http://birkenow.jenn.online.fr/lesmodulesetranges/

 
 



"If you ever responded in a positive manner to Scarlet’s Remains or  Black Ice you’ll definitely get Les Modules Etranges, as they also have  tough female vocals strung out over musical barbed wire, and it’s an  interesting test for these old ears. As you age it’s a bemusing but  inescapable fact that you find harsher sounds, em…harsher. When you  notice that you then need to confront your encroaching feebleness and  with bands like this it’s a rewarding experience, doleful and tuneful.

‘Liberate  Tute Me Ex Infernis’ has some enigmatic bleakness to scatter on the  ground initially but it soon whips up the static sound  of  broody bass  and aloof wiry guitar with discreet electronic wash to match the  intensity of Azia’s little-wraith-lost vocals. ‘In Silence’ the wailing  words amuse,
‘All I want is a thousand things, but all I get is frustration’  with a truculent bass and an ankle-breaking low wall of guitar as  steadfast back-up. ‘Trust’ has a discombobulated alien arrangement,  sparse elements crashing together behind intentionally gloomy vocals,  then ‘Disease’ does a post-Siouxsie lament, a clinical guitar and  thunking bassy presence crawling alongside the uneasy vocals.

‘Breakdown’  takes that feel and stance then oscillates outwards, a wider feel  encompassing shimmery guitar and a dipping rhythm, with ‘The Runaway’ a  comparatively corporeal instrumental, prettier yet just as intrinsically  atmospheric. Their creepy ‘No Mercy’ is the star of the show as it  crash lands spectacularly with bracing bass and wonderfully addled  vocals hanging in the frosty air.

‘Loner’ swills around with slow motion nightmare twinges and words of fragile resistance,
‘Bent’ snapping with terminal despondency:
‘But  in the dark the war is calling, the age of violence and hate beginning,  now we have to hide our love, or else I’ll find your blood on my  hands.’ Grimness transports you and ‘Clear’ lifts up and wafts away  with a shorter burst of activity that heralds a disdainful bout of  virtuous defiance.

A strange album this, it sits there a  bit like a gargoyle coming to life, not strictly attractive but catching  your attention while trying to submerge into your thoughts and become a  mixture of upfront urgency and beguiling background noise for a sombre  soundscape.
"


Mick Mercer

http://www.facebook.com/note.php?note_id=466461104038




Secondo full-length a poco più di un anno per i Francesi LES MODULES ETRANGES che bissano il debutto “Dawn” con il nuovo lavoro “Another vision”, uscito anch’esso autoprodotto ed autofinanziato. L’album si presenta meno diretto del predecessore con strutture musicali più intricate, dove i vecchi stilemi wave-rock e goth sono sostituiti da psychedelia e da una maggiore vena deathrock. Se prima i LME erano più vicini ai Banshees ora hanno virato decisamente verso i Blood & Roses.

Mr. Moonlight






Avec les Français des Modules Étranges, ne vous endormez pas
sur vos lauriers; un peu plus de six mois se sont écoulés depuis la
sortie de leur premier album, "Dawn", et le groupe prépare un nouveau
disque pour assouvir notre soif de sons de guitare sombres et
distordus. Le disque "Another Vision" témoigne d'un changement notable
de style du trio nantais. Alors que le premier album était dominé par un
mélange à base de riffs rock goth et de références à Cocteau Twins/
Cranes, le nouvel album est un peu plus psychédélique - on sent qu'il a
été inspiré par le deathrock et le postpunk- et offre de la décadence,
des structures vocales inhabituelles et striées reflétant l'atmosphère
des enregistrements
- ce qui
témoigne de façon très approximative de l'évolution des Modules
étranges. Le disque "Another Vision" est disponible à l'achat
directement auprès du groupe, et extraits peuvent être écoutés sur leur
site MySpace.

+++

Francuzi z Les Modules Etranges nie
zasypiają gruszek w popiele; niewiele ponad pół roku minęło od wydania
ich debiutanckiej płyty "Dawn", a zespół zdążył już przygotować kolejny
album dla spragnionych mrocznych i pokręconych gitarowych dźwięków.
Płyta "Another Vision" wyznacza zauważalną zmianę stylu tria z Nantes. O
ile brzmienie pierwszego krążka zdominowane było przez koktajl
sporządzony z goth rockowych riffów i Cocteau/
Cranes'owych nawiązań, nowy album podąża
nieco bardziej psychodeliczną drogą - słyszalny jest zakręt w stronę
grania inspirowanego deathrockiem i postpunkiem - od pierwszych
dźwięków Francuzi roztaczają przed słuchaczem nastrój dekadencji,
wyeksponowane są nietypowe struktury wokalne i podszyty wewnętrznym
niepokojem klimat nagrań - tak w dużym przybliżeniu prezentuje się
ewolucja oblicza Les Modules Etranges. Płyta "Another Vision" jest
dostępna do nabycia bezpośrednio u zespołu, zaś próbek nowych
kompozycji można posłuchać na ich stronie myspace.


http://www.bat-cave.pl/news.php









Trio nantais officiant dans une veine post-punk/new-wave matinée de
gothique, sans que cette dernière tendance ne s'avère envahissante -elle
est au contraire discrète et bien dosée-, Les Modules Etranges
concrétisent, avec ce premier long jet, les capacités perceptibles sur
Dawn, sortie précédente aux morceaux déjà concluants.


D'ambiances profondes et remuantes (Liberate tute me ex inferis en
ouverture), une voix féminine vindicative, parfois plus doucereuse,
s'alliant à des guitares évoquant Sisters of Mercy, en rythmes plus
assénés (In silence), Les Modules Etranges brode des climats
saisissants, torturés, qui confirment leur recherche, en bonne voie,
d'une identité singulière et reconnaissable. Les six-cordes rappellent
certes Killing Joke ou la troupe d'Andrew Eldritch, mais force est de
reconnaitre qu'elles captivent et produisent leur effet, à l'instar du
chant et de ces atmosphères bien construites et offrant une diversité
qui rend cet album, habilement autoproduit, plus intéressant encore. Les
basses, profondes, renforçant le cachet de ces sonorités souvent dark,
qui partent à l'occasion dans des rythmes plus francs (Trust), ce
morceau offrant d'ailleurs une fin noisy du plus bel effet.


Azia, Jenn et JrM maitrisent fort bien ces climats plombés, comme sur
Disease, et ont l'intelligence de ne pas s'y cantonner, passant ensuite à
un Breakdown percutant et bondissant. Aucun morceau ne peut être
qualifié de médiocre et si la personnalité reste à finaliser, la
démarche semble être sur les bons rails. Le trio breake de surcroît
intelligemment ses compos, ou alterne les rythmes avec à-propos, se
montrant également convaincant sur les formats très courts comme The
runaway, instrumental fin et très "Cocteau", magnifique.


Retour ensuite, sur No mercy, à une trame cold dans un premier temps
lancinante puis plus vivace, aux relents industriels, mise en valeur par
des sons bien sentis. L'étoffage est en effet souvent ingénieux, entre
claviers grinçants, guitares acides et boite à rythmes bien investies,
Azia ponctuant le tout de son chant en clair-obscur. Loner, le morceau
suivant, confirmant l'excellence du groupe dans le changements de
rythme, et l'élaboration d'enveloppes sonores originales et attrayantes.


Il reste alors deux morceaux avant la fin de ce Another vision et Bent,
mid-tempo presque sensuel dans les vocaux, apporte une sombre clarté au
registre des Modules Etranges, aidé en cela par la basse de Jrm. Chacun
maitrise sa partition et on sent une cohésion certaine dans le groupe,
accentuée par la verve textuelle d'Azia. Puis c'est Clear, à l'amorce
syncopée, sur fond de guitares crues et mordantes, dans une ambiance
assez...Cocteau Twins finalement (celui des débuts, de Garlands), doté
d'une accélération rythmique bienvenue, qui met fin à un disque réussi,
dont le contenu laisse légitimement croire en ce groupe aux aptitudes
conséquentes.



Will
http://radiokulturanoiserus.blogspot.com/2010/04/les-modules-etranges-another-vision.html




Suivre un groupe depuis le départ, en connaissant ses
membres, donne forcément un regard pas tout à fait objectif sur sa
musique. Dans le pire des cas, on se retrouve obligé de dire des
gentillesses sur des évolutions auxquelles on n’adhère plus, pour ne
vexer personne ; dans le meilleur, on est bien obligé de constater les
progrès… Dieu merci dans le cas des Modules, c’est la seconde option,
avec la mention « progrès foutrement spectaculaires ». Non pas que les
débuts des Modules aient été catastrophiques, mais il y avait chez eux
une application à suivre leurs héros que même le jeu de guitare
exubérant de Stéphane (le Jimi Hendrix de la cold-wave !) n’arrivait pas
à casser, et un manque de confiance vocale chez Justine qui pouvait
plaire par sa fragilité mais aussi lasser à la longue. Un tas
d’enregistrements et de concerts plus tard – ces gens là sont
d’authentiques Stakhanovistes -, le gothique éthéré un peu trop
laborieux des débuts s’est transformé en batcave flamboyante et
débridée, qui doit maintenant autant aux Swans qu’aux Cocteau Twins du
premier album. La personnalité du duo central n’y est pas pour rien : là
où les gogoths classiques sont souvent de gentils enfants gâtés faisant
de la musique en dilettante entre une soirée vampire, un thé-vodka, un
peu de shopping latex et un partiel de macro-économie, Azia et Stéphane,
eux, apparaissent comme d’authentiques survivants, seuls contre le
reste du monde, intransigeants, galériens convaincus de la nécessité de
leur musique ; des guerriers plutôt que des artistes. Bref, l’antithèse
du fashionisme dark-de-la-mort… Leur musique n’est pas jolie, elle
brûle, libre à vous d’y adhérer ou pas. Pas très loin de Frustration,
d’une certaine façon, mais sans le melon. Mais revenons en à ce tout
nouveau disque : un son aride, claquant, des boites à rythme qui ne
cherchent plus à sonner comme des batteries mais comme des coups de
fouets ; une basse gothissime ; la guitare comme une infection rampante,
saturée d’effets et de larsen, entre le Robert Smith de The Kiss et les
murs du son à la Jesus & The Mary Chain ; et là-dessus, la grande
prêtresse Azia, distribuant des mots comme des coups de couteau, des
litanies, des reproches. Un disque que certains trouveront peut-être
très old-school, tant il sonne enregistré dans un squatt ; une dureté
dans la production qui correspond à la dureté du propos. En rarement
plus de trois minutes trente, sans fioritures, ces gens là ne pleurent
pas les amours perdues : ils leur crachent à la gueule.

Vx Cheerleader 69

http://fluo.bbfr.net/international-chaos-zone-f2/french-les-modules-etranges-nouvel-album-another-vision-maintenant-disponible-t7351.htm

















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BADGES




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